Extraits révélateurs de tracts

de l'association Notre-Dame du Pointet[1]

 

assortis de quelques commentaires personnels signés

 

 

  1. Le rock : Détente ou porte ouverte au satanisme ?

 

"Le diable est parmi nous. A preuve, le nombre croissant de messes noires, de cultes sataniques, de la magie noire… L'intérêt grandissant pour tout cela est sans contredit encore accru par la musique rock qui pousse à la violence et à l'immoralité. La musique rock n'est pas autre chose que de la pornographie mise en musique et ses effets sur les jeunes sont dévastateurs"

(Cardinal O'Connor, en chaire de New York, 1990)

 

Face à cette citation, vous allez out de suite poser l'objection : "Oui, mais pas tous les rocks !"

Toute musique est composée :

La mélodie touche l'intelligence, l'harmonie et le rythme les passions (Et les curaillons… les enfants !).

Dans la plupart des musiques, la mélodie est primordiale (Comme, par exemple, le latin (de cuisine, de chambre, de salon ou de… chiotte) des messes cathos !) ; ce qui n'est pas du tout le cas du rock.

Le rock est une "musique" (?!) bâtie sur le rythme caractérisée par le beat, c'est-à-dire une répétition incessante de pulsations combinées avec des rythmes syncopés, assurés par le batteur et la guitare basse.

Cette définition est commune à tous les rocks et donc au soit-disant "rock chrétien" !!

Les différents rythme rock reproduisent (et c'est cela le plus dangereux) les rythmes utilisés par les sorciers des tribus africaines et des milieux vaudous pour exaspérer le système nerveux et même paralyser le processus mental de la conscience (Parce que le rituel bondieusard de la secte vaticanesque n'a pas de tels buts ?) (cf. Mgr Balducci (Dont on sait par ailleurs qu'il est un grand critique musical !) : Adorateurs du diable, page 117).

Tous les rocks ayant un beat basé sur un rythme sorcier lorsque nous écoutons même le rock le plus doux, nous écoutons un rituel sorcier de sexe, de perversion, de révolution (Pourquoi parler de "révolution" : serait-ce parce que la curetons ne sont pas seulement les soldats de dieu mais aussi ceux du… capital ?) avec toutes les conséquences qui suivent…

Il existe donc :

… Le message subliminal : On appelle ainsi les messages qui touchent le subconscient (Ainsi, chez les humains, il y aurait une "part" qui échapperait au contrôle de dieu et qui relèverait de l'animalité ou, plus simplement, de l'humanité ? La notion même de subconscient n'est-elle pas la contradiction du dogme religieux de la création des humains par dieu ?) en l'induisant à un comportement sans résistance. La technique la plus courante, dite "verbale", consiste à enregistrer les phrases à l'envers. Le père des messages subliminaux est Aleister Crowley qui est aussi le père du satanisme moderne (Ah bon, parce qu'il y a un satanisme… ancien ?). Quelle coïncidence, sachant que les sorciers, pour jeter leurs sorts, utilisent un rythme et des messages à l'envers !!! (Petit rappel : un message dit subliminal échappe à la perception consciente. Or, qu'un texte de soit chanté  à l'endroit ou à l'envers, il est toujours entendu et donc consciemment perçu sauf… par les sourd(e)s !). les premiers à utiliser une telle méthode furent les Beatles dans le chant "Revolution member 9" "Excite-moi sexuellement, homme mort" (J'ai beau lire ce titre à l'envers, en français comme en anglais, je ne retrouve pas la "traduction" donnée par ces fous de dieu ! Et vous ? Comment qui causent ou lisent ces tétanisés du bocal ?).

Avec les cinq thèmes majeurs de l'univers rock (à savoir : le sexe, la drogue, la révolte (Tiens, ce n'est plus la révolution ?!?), la fausse (Ah bon, parce qu'il y a une vraie religion ? Notons au passage que le satanisme d'anti-religion devient religion… même fausse !) religion et l'influence diabolique) et les moyens employés, la meilleure formation morale et spirituelle (Alors même si les saint(e)s ne peuvent y résister , que faire ? Se murer vivant dans le silence, l'obscurité, le vide…  le néant, la non-vie, le non-humain, l'a-humain, l'anti-humain : la… religion !!!) ne peut résister longtemps à l'érosion du cœur, de l'esprit, de la conscience.

La musique rock, ou bien nous l'acceptons ou bien nous la refusons (Autre choix possible : accepter le rock et refuser la religion. C'est le mien !). Il n'y a pas de milieu. Enlevons donc cette "musique", ce fléau véritablement satanique de nos maisons, de nos soirées entre amis, des bals à l'occasion d'un mariage…

Il n'y a pas de rock inoffensif. Il ne peut exister un rock "chrétien". Le beat lui-même est anti-chrétien. Le rock, même soft, suinte l'impudicité et le satanisme.

Mieux vaut laisser la porte fermée (Et que, surtout, ces agités du bocal ne l'ouvrent plus pour venir nous emmerder et nous empêcher de prendre plaisir à vivre !) que de l'entr'ouvrir car au moindre coup de vent elle sera grande ouverte.

Dernière objection : "Il n'y a pas de mal à danser ou à écouter du rock que l'on ne comprend pas, si cela se fait dans une soirée entre catholiques et en passant !". Comment ? Où avez-vous la tête ? Cela ne vous fait rien de porter attention ou de danser sur un rythme satanique, sur des chansons composées par des adorateurs du diable ? Plus de 50 000 chansons sont notoirement sataniques à l'heure actuelle (Oh les coquins : eux, ils les écoutent les chansons du diable ! dansent-ils dessus ?). Quelle honte pour vous catholiques ! Vous faîtes horreur au ciel entier.

Le rock enlevé, ne pensez pas qu'il ne reste que le Grégorien, non ! Vous pouvez trouver dans les chants (Anars ? athées ? bouffeurs de curés ? révolutionnaires ?... aussi ?), la musique classique, baroque, folklorique (La païenne aussi ?) de quoi vous distraire sans dégâts, comme de véritables catholiques (A lire la promesse d'une vie aussi chiante, je me réjouis de ne pas être catho mais athée et mécréant !!!).

  1. Civilisation du démon (1) : Pokémon (Qui a dit que les extrêmes se ressemblent et rassemblent ? Les Pokemon sont interdits, à peu de choses près pour les mêmes motifs, en Arabie saoudite et dans d'autres pays musulmans appliquant la charia.) - Halloween

Pour beaucoup de gens, les Pokémon et la fête d'Halloween ont ce sens là[2] et cela n'ira pas plus loin. Mais qu'en pensent les organisateurs ? Cette fois, leur réponse revêt un aspect idéologique : "Halloween est avant tout une occasion de tourner en dérision diables, sorcières, fantômes et vampires" (Directrice du service commercial de Mars).

Mais là, on ne comprend pas bien l'argument : ou bien les démons, les sorcières… n'existent pas et alors pourquoi faire un tel tapage autour de cela ? ou bien les démons, les sorcières… existent comme êtres malfaisants et alors pourquoi habituer les enfants à les imiter ? Ce que l'on peut en conclure c'est que l'on ne nous dit pas la vérité. En fait, il faut affirmer que les Pokémons et la fête d'Halloween sont d'inspiration diabolique (A-t-on vraiment toutes ses facultés mentales quand on voit le diable partout ? N'est-ce pas là une bien triste vision du monde à voir le mal partout ?).

Ces nouveautés portent la marque du démon car :

·        Elles sont contre nature : elles ne sont pas seulement laides (Ah bon la "laideur" est contre nature ? En permettant que des êtres laids naissent et vivent dieu ferait donc dans la contre nature ? mais quelle "nature" ?) mais elles vont à l'encontre des lois naturelles (Pourquoi des personnages de fiction  seraient ils astreints à respecter les lois naturelles ? les fictions de la bible se prêtent-elles aux lois naturelles ? et l'infaillibilité du pape est-elle une loi naturelle ?) puisque les Pokémon sont un croisement entre le règne animal et le règne végétal et qu'Halloween rend aimable la laideur (Dans le monde de dieu il n'y aurait donc pas de place pour la laideur ? mais alors qui est responsable de cette laideur et pourquoi puisque dieu est… parfait ? en plus du péché originel les humains sont donc voués au péché de laideur ? quels critères objectifs définissent la laideur ? que faire des laids : la chambre à gaz, la guillotine, la lapidation… ? et eux les obsédés du démon, ils sont sans doute beaux !) et les êtres les plus malfaisants

·        Elles donnent un pouvoir magique (Comme les miracles, l'exorcisme… ?). C'est ainsi que le démon veut maîtriser les âmes : "Si tu m'adores, je te donnerai puissance sur le monde" dira satan à notre seigneur (Où sommes-nous : dans la fiction des Pokémon et d'Halloween ou dans celle de la religion ?). Ainsi, avec Halloween, les enfants ont la faculté de jeter des sorts aux personnes qui refusent de leur donner quelque chose lors de leur collecte (Croire à cette fadaise n'est pas contredire sa croyance en dieu ? sénilité précoce ? infantilisme ? folie furieuse ?... Vite le SAMU psy pour cette secte !).

Avec les produits Mars, Bounty, M&M's on propose à chaque enfant de faire un pacte avec le démon !( Le capital n'hésite pas à porter plainte contre celles et ceux qui prônent le boycott d'une entreprise. A-t-il eu dépôt de plainte en diffamation contre cette secte ? j'en doute.)

Sur cette carte de démon officiel on demande à l'enfant de coller sa photo, de noter ses nom, prénom et surnom démoniaque et d'apposer sa signature d'enfer. Au bas de la carte, on trouve : lu et approuvé par le maître des démons. Signé Loucifer[3]. Le mot d'ordre qui est donné à l'enfant est le suivant : "Je fais partie des démons de la fête d'Halloween et je m'engage à dire et à faire plein de choses monstrueuses".

De plus, il faut savoir que la fête d'Halloween fait partie des quatre sabbats sataniques et que c'en est la plus importante. Le sabbat (Celui des juifs aussi ?) est un culte que les hommes voués au démon adressent à satan. Ce culte singe le culte rendu à dieu qui comprend particulièrement le sacrifice offert à dieu par amour et la consécration totale de soi-même dans la vie religieuse (Il est vrai qu'au sacrifice satanique il faut préférer le sacrifice anthropophagique de la messe !). Ainsi le 31 octobre, en cette fête d'Halloween, on trouve en certains lieux (Les presbytères par exemple ?) des sacrifices sanglants d'enfants et des messes noires avec profanation d'hosties consacrées, avec rage et violence. Durant d'autres sabbats, comme le jour de l'ascension (Ah bon, l'ascension n'est pas la fête des ascenseurs mais un sabbat… satanique ? Cathos, révisez votre catéchisme !), le démon réclame la consécration d'âmes pures pour les posséder (A l'instar de la pédophilie pratiquée par la curetaille ?) et étendre son règne. C'est ainsi que dans une classe une jeune fille visiblement possédée, entrant souvent en transes, s'approcha d'une jeune fille catholique, lui traça trois fois le chiffre 6 sur le front, puis trois fois le chiffre 7 à l'envers et lui demanda le jour de l'ascension de prononcer une formule en latin devant une croix à l'envers car le démon doit prendre possession de treize jeunes filles pures en ce jour là (cela s'est passé où ? quand ? les témoins ? quid des douze autres vierges ?).

Le démon existe et il veut établir son règne sur cette terre par haine de dieu et pour entraîner le plus d'âmes possibles en enfer. Et c'est pour cela qu'une vraie civilisation du démon se met en place !

Nous venons de parler des Pokémon et d'Halloween ; maintenant, il faut les replacer dans le vaste plan de domination du démon (Nous y voilà… le complot !!!) qui se met en place rapidement :

L'église catholique a affadi sa doctrine (A entendre les radotages intégristes de Gépétou, je n'ai pas du tout l'impression d'un affadissement !). Le péché, l'enfer sont plus ou moins passé sous silence. "Il suffit d'aimer !" "dieu est bon ! (Ah parce qu'en réalité il est… méchant ?) ", autant de slogans actuels qui trompent les âmes. La communion se reçoit la plupart du temps sans confession, ce qui multiplie les sacrilèges. Les enfants ne sont plus baptisés et, quand ils le sont, il n'y a plus les exorcismes (Si exorcisme il doit y avoir c'est que l'enfant n'est pas créature de dieu mais de satan, non ?). La famille, source de stabilité et d'éducation, est ruinée (Ruinée au sens économique ? alors, cela est bien vrai pour les familles dans la précarité !). L'impureté sous toutes ses formes devient le grand centre d'intérêt et des activités ; e même temps que la source de tous les avilissements. La magie est mise à la disposition de tous…

Elle a perdu les notions essentielles de respect, de devoir et de sacrifice, étant plongée dans un égoïsme foncier et un irréalisme évident. Elle est "sans passé, sans avenir, sans pensée propre". En plus de l'impureté à haute dose, elle s'enfonce dans d'autres plaisirs qui vont abîmer sa nature à tout jamais (Comment peut-elle avoir une nature puisqu'elle n'a pas de passé ?) et la rendre incapable de mener une vie saine et équilibrée (De moine intégriste !) dans l'avenir (Normal puisqu'elle n'a pas d'avenir !) : rock, drogue, jeu du foulard et satanisme.

On développe toute la partie sensible de l'enfant sur laquelle le démon a puissance (instincts, passions, imagination, fantasmes, sensibilité, nervosité) au détriment de la formation des facultés supérieures qui donnent à l'homme sa vraie liberté (intelligence : raisonnement (Et avec l'intelligence et le raisonnement l'homme libre… croit ? J'en doute !) ; volonté : sens de l'effort ; mémoire : culture générale ; vie calme et équilibrée).

On leur enseigne toutes les religions (Je pensais qu'on ne leur enseignait qu'une (fausse) religion : celle de satan ! Alors la (fausse) religion satanique c'est comme la "vraie" religion : elle a des chapelles, des sectes… ?), ce qui forme des indifférents.

On les initie à l'impureté dès leur plus jeune âge (Les curetons pédophiles en savent quelque chose !).

On les place dans l'univers du démon (Les curetons pédophiles en savent quelque chose !) : sang violence, monstres, laideur (Parce que l'on ne trouve pas tout cela dans la bible ?) ; et dans le virtuel : jeux d'ordinateurs (Parce que vivre dans la religion ce n'est pas vivre dans le virtuel ?).

On leur a fait perdre la notion du bien et du mal.

Ainsi le démon a mis en l'enfant et dans son entourage, un climat favorable pour en faire Sa créature. Il est bientôt prêt à établir Sa civilisation, Son règne.

Nous n'avons donc pas le choix : ou nous voulons la civilisation du démon ou nous voulons la civilisation chrétienne (Bien entendu, il ne saurait y avoir d'autre civilisation que chrétienne et, plus précisément, catho intégriste !). Réagissons vite et bien ! (Soyons donc… réactionnaires !).

  1. Civilisation du démon (2) : Harry Potter

Ce qui est incompréhensible et donc très inquiétant c'est de voir aujourd'hui l'engouement des enfants pour des livres de 400 à 600 pages, sans aucune illustration (Depuis quand il est inquiétant qu'un enfant lise ? Depuis que la secte vaticanesque ne peut plus faire régner son obscurantisme ? ). Ils les dévorent alors qu'aucun d'eux n'aime vraiment lire (Sympa ce jugement pontifiant sur les jeunes !) ! Et ces livres qui exercent une séduction irrésistible, une fascination captivante auprès des enfants – dés l'âge de 10 ans – ont un nom : c'est la collection de Harry Potter.

Cette nouvelle génération de jeunes, qui habituellement était rivée sur la télévision, les vidéos, les jeux électroniques ou les ordinateurs se passionne maintenant pour ces énormes livres.

Mais quel est donc cet auteur génial qui sort soudain de l'ombre ?

C'est une écossaise, née en 1965. Elle porte le nom de Madame Rowling. Divorcée (Pouah ! une… femme et, de plus, une divorcée !!!), elle élève seule sa fille unique (Mais n'est-ce pas là une vertu très chrétienne ? Et, au fait, la Marie n'aurait pas été une mère célibataire du père de son rejeton ? ou, pire encore, polyandre ?) …. En 1966, alors qu'elle est dans le train de Londres à Manchester, elle a une illumination (Manque de pot, l'ampoule étant défectueuse, ce fut une… fausse illumination !) sur une projet littéraire avec Harry Potter. Et cette collection comportera 7 volumes, afin d'atteindre la perfection (Ah bon, les œuvres sataniques atteignent aussi la perfection ? Et l'infaillibilité ?).

Madame Rowling a-t-elle un but avoué ?... Le 19 octobre 2000, elle déclare à un journaliste du London Times : "Ces livres aident les enfants à comprendre que ce faible et débile fils de dieu n'est qu'une plaisanterie qui a encore la vie dure mais qui sera humilié, anéanti lorsque viendra le déluge de feu" (Au bûcher… la sorcière !).

A travers le déluge de feu madame (Notons que, dans le texte, la majuscule a… disparu !) Rowling fait certainement allusion à son 4ème volume… qui s'appelle "Harry Potter et la coupe de feu". En fait, c'est dans ce tome que satan va s'incarner en prenant de la matière osseuses d'un mort, de la chair d'un vivant et du sang de Harry Potter (N'est ce pas "révisionniste" de dire qu'il a fallu attendre Madame Rowling pour que satan s'incarne ? Mais alors quid de la bible, des évangiles et de tout le baratin de l'imposture vaticanesque ?).

Comment, dés maintenant, ne pas conclure avec certitude que l'inspiration et le succès de ces livres sont diaboliques (On sent comme une pointe de jalousie : Harry Potter se vend mieux que la bible et se lit plus que les tracts de la secte !).

Dans le tome IV, le point culminant est la description sans équivoque d'un rituel satanique qui comprend un meurtre d'enfant, des profanations de défunts et de cimetières, un sacrifice sanglant et des blasphèmes.

Il faut affirmer qu'à travers la vie du héros, Harry Potter, l'imagination puis l'âme des enfants sont profondément marquées, souillées et inclinées au mal (Bien entendu, la pédophilie des curetons relève, elle, de l'initiation, du baptême, de l'exorcisme et consiste à élever les enfants à dieu !!!) de quatre manières :

Pour conclure, il nous suffit de rappeler cette parole de notre seigneur (Et… maître… lucifer ?) : "Si quelqu'un fait tomber dans le péché l'un de ces petits qui croient en moi, mieux vaudrait pour lui qu'on lui mît une pierre (C'est fou ce que les religions monothéistes sont attirées par les pierres, surtout pour les jeter sur les autres à les en faire mourir !) au cou et qu'on le jetât dans la mer (Madame Rowling, à mon avis, devrait faire attention et prendre garde à ne jamais marcher seule au bord de l'eau, surtout si elle croise un exeeociste ou un quelconque fou de dieu, soldat d'élite du sénile tremblotant !) " (saint Marc, 9.42).

  1. L'incinération :

L'usage de brûler les cadavres humains, comme rite normal des funérailles, se répand dans nos pays à mesure qu'ils se déchristianisent… Une propagande lui est faite par toutes les sectes (Les athées seraient donc une secte ! de même que la laïcité !!!) aux visées antichrétiennes depuis la loi sur la liberté (Significatif : cette secte est contre… la liberté, à l'image de tous les ordres religieux ! En somme, la liberté est un "état de péché". Je considère que je ne suis humain qu'à raison de ma liberté ; c'est pourquoi, je revendique, assume et défends ma liberté et me complais dans cet état de mécréance. Au moins, je suis debout quand les croyants sont couchés, vautrés dans la souillure de leur renoncement à leur humanité, leur dignité !) des funérailles votées en 1887 (Significatif : cette secte est contre… la liberté, à l'image de tous les ordres religieux !). Blatin précisa à cette occasion que la Franc-maçonnerie était "la mère de cette idée". Mais, nous catholiques, que devons-nous penser (Il s'agit là d'une "pieuse", mais vaine revendication car comment pouvoir… penser quand on… croit ! En effet, il faut choisir : ou l'on pense, ou l'on croit, sachant que, dans ce second cas, il est vrai, que l'on peut aussi… panser les plaies de son humiliation masochiste  et, de temps en temps,  les roulettes à usage de pieds du séisme ambulant qu'est Gépétou !) de ce procédé ? L'incinération est un rite funéraire qui consiste à réduire le cadavre en cendres au moyen du feu (Sic. Attention, cette secte vient d'inventer… l'eau tiède !).

Depuis que le terme d'incinération sert à désigner la destruction des ordures ménagères, on préfère parler de crémation pour la destruction des corps humains. Cette préférence, à elle seule, jette une lumière révélatrice (Personnellement, je ne fais pas de différence entre un cadavre, relief d'une vie, et le contenu d'une poubelle, relief d'une journée de vie.). Les principaux arguments apportés par les défenseurs de la crémation se présentent sous des étiquettes de décence, de prix, d'hygiène, d'espace vital. Mais derrière tout cela il y a :

La crémation [serait] une question de décence et de respect des morts ? Qu'y a-t-il de décent et de respectueux à brûler le corps de sa propre mère, de son époux ou de ses enfants. Habituellement, on brûle ce que l'on ne veut plus (Comme, par exemple, les hérétiques, les blasphémateurs, les scientifiques, les athées, les libertins… !) (Il est à l'évidence plus décent et respectueux de livrer  un cadavre au pourrissement et à la mangeaille asticotaire !).

Un témoin (Un incinéré revenu d'entre… les cendres ? un incinérateur ? Dutroux ? Landru ?) nous décrit la scène : "Certainement, c'est la plus poignante impression d'horreur que j'ai jamais éprouvée. Au seul souvenir de ce corps se tordant, de ces bras battant l'air, demandant grâce, de ces doigts crispés et s'enroulant comme des copeaux, de ces jambes noires qui donnaient de grands coups de pieds ayant pris feu ainsi que des torches, il me court des frissons (Pourtant, un feu… cela réchauffe !); j'ai la sueur froide au front et, rétrospectivement, je compatis au supplice de ce mort inconnu dont j'entends la chair crier et protester" (Comme on le sait, la crémation se fait dans un cercueil et hors de vue. Soit ce témoin est doté d'une vue radioscopique, soit ce qu'il a vu c'est le bûcher d'un hérétique, d'une sorcière… !).

La crémation [serait] moins onéreuse que l'inhumation : C'est faux ! Préchauffer un four à 800° demande un équipement lourd et une énergie considérable. De plus, la crémation pour un corps dure une bonne heure, ce qui n'est pas gratuit (On fait dans… l'épicerie à présent ! Mais il est vrai que la religion est une affaire qui marche dans la mesure où son fonds de commerce, la crédulité, est quasiment inépuisable !). Reste le prix de la tombe, mais il a toujours été possible de faire une tombe pour toute une famille, ce qui réduit notablement le prix et la place (Des HLM mortuaires en somme ! Et puis, n'y a-t-il pas la fosse commune pour les indigents et les réprouvés (de l'église) ? Des cimetières à forme de parking souterrain !).

La crémation [serait] plus hygiénique car moins polluante (Attention, la science catho va pointer sa langue pontifiante !). L'argument ne vaudrait que pour les villes (C'est oublier que, dans les pays occidentaux, l'écrasante majorité de la population est urbaine. Alors, la solution : vivre à la ville et se faire inhumer à la campagne et, ainsi, transformer les paysans en fossoyeurs et jardiniers de cimetières ?). Cependant, il n'y a aucune preuve qu'une agglomération (Sic !?!) de tombe ait été cause de mortalité (Comme on le sait, les cairotes qui vivent dans les cimetières ont les meilleures conditions d'hygiène du monde ! De même que les mouroirs de la môme Térésa offrent une hygiène… mortifère !) ! Les conditions modernes d'inhumation sont généralement sûres (Sûres en terme sécuritaire en particulier : on n'a jamais vu de cadavres se tirer de sa tombe !).

La crémation [laisserait] la terre aux vivants : l'argument ne vaut encore que pour les grandes villes mais il est sans objet. Nous avons aujourd'hui tous les moyens d'exploiter les sous-sols si c'était vraiment nécessaire. Comment firent les premiers chrétiens au temps des persécutions ? Ils construisirent (Le terme approprié ne serait-il pas plutôt…  ils creusèrent ?) des catacombes, car l'idée de crémation leur faisait horreur. En fait, on veut éloigner les morts des vivants pour faire oublier, si c'était possible, la réalité de la mort (J'ai une idée pour éviter ce "trou de mémoire" : l'enterrement à domicile sous la moquette !).

La crémation favorise la perte de la foi. A force de poser des actes impies, on en vient à changer les esprits. Pour beaucoup, brûler les corps revient à croire qu'après la mort il n'y a plus rien (Cf. ci-après, en totale contradiction, la négation de la réincarnation.). C'est la disparition totale de l'être aimé ; il ne peut être question de résurrection. Et c'est cela le plus grave. Nos ennemis en sont bien conscients. Mgr Chollet, archevêque de Cambrai (Attention à la… bêtise qui va venir !), donnait en 1887, un passage d'une circulaire des Francs-maçons : "L'église romaine nous a porté un défi en condamnant la crémation des corps que notre société avait jusqu'ici propagée avec les plus beaux résultats. Nous devrons donc employer tous les moyens pour répandre l'usage de la crémation? L'église, en défendant de brûler les corps, affirme ses droits sur les vivants et les morts, sur les consciences et les corps et cherche à conserver dans le vulgaire les vieilles croyances aujourd'hui dissipées à la lumière de la science, touchant l'âme spirituelle et la vie future".

[D'un point de vue juridique] l'incinération, si elle se généralise, favorisera la fréquence des pratiques criminelles en leur assurant l'impunité dans beaucoup de cas (sans compter toutes les histoires de procès pour héritage). En effet, aucune autopsie n'est possible après une crémation (Et une porte ouverte enfoncée, une !).

Le simple bon sens nous apprend que violenter en quelque sorte le corps d'un défunt en le brûlant est un profond manquement de respect, un manque d'humanité (En revanche, il est respectueux, humaniste et humanitaire de brûler un vivant comme au bon vieux temps de l'inquisition !). Il faut laisser faire les choses comme la nature (Il faudrait savoir : c'est qui le boss : dieu ou la nature ?) l'a prévu. Un jour, on a le corps du défunt dans son intégrité, tel qu'on l'a connu, et le lendemain, un amas de cendres qui pourraient aussi bien être celles e n'importe qui ou, pis encore, celles de morceaux de bois… (Comme on le sait, le cher défunt enterré ne pourrit pas et n'est pas bouffé par les vers ; c'est pourquoi, régulièrement, il vient faire causette aux vivants dans ses plus beaux atours. Cet attachement aux cadavres, n'est-ce pas de la… nécrophagie ? Allez, oups, à l'asile et, surtout, qu'on ne les laisse plus sortir !).

Dans la genèse dieu prononce cette sentence à l'égard d'Adam : "Tu retourneras à la terre dont tu as été tiré" (Gen. III.19) (Et si c'était une erreur de traduction/interprétation et que la sentence fut : "Tu retourneras la terre pour semer et avoir des moissons" ?). L'ensevelissement de Lazarre  et du christ ne laisse aucun doute sur le respect dû aux cadavres (cf. Jean XI.1-54 ; Luc XXIII. 33-56) puisque nos corps sont les temples du saint-esprit (En matière d'inhumation, la seule certitude est…. Un cadavre enterré !). Saint Paul enseigne l'union mystique du chrétien et de jésus christ "enseveli comme lui, il ressuscitera à son tour comme lui" (Rom. VI.4-6) (Et si dieu était un asticot ?).  Or, l'inhumation est une image vivante de cette identification morale de notre seigneur et des catholiques : l'église confie à une terre bénie (le cimetière) les restes mortels des membres (Et si dieu était un asticot ?) du christ en vue du jour de la résurrection comme autrefois notre seigneur fut placé dans le tombeau en attendant sa résurrection glorieuse (cf. I Cor. XV.42) (Cor. C'est quoi ? le coran ? Je ne comprends plus rien.).

Aux yeux des chrétiens, la mort a un double sens :

Notre seigneur et saint Paul (Je ne connaissais pas ce duo de comiques et vous ? A moins que cela ne soit un ventriloque et sa poupée !) explicitent bien cette doctrine : "Si le grain de blé ne tombe pas en terre et ne meurt (A l'évidence pour récolter une moisson, il vaut mieux planter le grain que le laisser suspendu dans l'air !), il ne rapporte aucun fruit" (saint jean XII.24) "Ce que tu sèmes ne reprend pas vie sans mourir d'abord. Ainsi en est-il de la résurrection des morts. Semé dans la corruption, le corps ressuscite incorruptible (Un incorruptible ne peut donc pas ressusciter ? Incorruptible et infaillible ne serait-ce pas là comme des synonymes ? Alors, les papes infaillibles sont condamnés à la pourriture ! pauvres asticots, ils n'auront pas grand-chose à bouffer avec Gépétou !) " (I Cor. XV.26-44).

De plus, l'église s'est exprimée clairement sur cette question : le saint office condamne la crémation en 1886, puis en 1926 ; le pape Pie XI écrit le 19 juin 1926 (Selon certains historiens, alors qu'il était sur son… trône en train de déféquer et se toucher la zigounette !) : "La crémation, ce rite barbare, impie et scandaleux, est gravement illicite (Il y a donc des "illicités" modérées, légères…)" ; le code de droit canonique (Fameux traité de balistique édité par la maison Krupp) résume la position de l'église et y rajoute des sanctions : "Les corps des fidèles défunts doivent être ensevelis, leur crémation étant réprouvée. Si quelqu'un prescrit que son corps soit livré à la crémation, il est illicite d'exécuter cette volonté (C'est pourtant bien ce que de fidèles croyants faisaient lorsqu'ils en recevaient l'ordre de Torquemada !). Si elle est insérée dans un contrat, un testament ou un acte quelconque, elle doit être tenue pour non écrite (Et pour éviter que ce genre d'insanité ne soit écrite il vaut mieux que les croyants soient analphabète et que l'obscurantisme règne !) (can. 1203 § 1 et 2) Sont privés de sépulture ecclésiastique, de messe publique, ceux qui ont demandé que leur corps soit livré à la crémation" (can. 1240 §1).

  1. Métempsycose et réincarnation

Malgré des progrès en tous genres (Il y a encore des imbéciles pour… croire !), la jeunesse (et des moins jeunes) de l'an 2000 connaît une crise profonde de spiritualité. Les âmes sentent confusément qu'après cette vie il y a un état de paix, de bonheur qu'il faut mériter ; mais également que pour y accéder, l'âme doit être purifiée de ses péchés par la souffrance (Vous chassez le masochisme et le sadisme arrive au galop. Et réciproquement !).

L'église possède la vraie réponse à ces questions fondamentales de l'homme; Mais? Ayant voulu plaire au monde, elle a tellement appauvri la doctrine de vérité, elle a tellement perdu son zèle apostolique (Et… inquisiteur !) qu'elle n'en est plus crédible (Parce qu'elle a été… crédible !). Alors, beaucoup se tournent vers des nouveautés (Admirons le "nouveauté" quand certaines de ces pratiques sont antérieures au… christianisme !) et, en particulier, vers les doctrines orientales somme, par exemple, le yoga, le zen, la réincarnation, la méditation transcendantale…

La métempsychose est la transmigration de l'âme humaine après la mort, dans un corps humain ou dans celui d'un animal ou dans un végétal avant d'arriver à l'atman suprême. La réincarnation est la transmigration au moment de la mort de l'âme humaine dans un autre corps humain avant d'arriver à l'atman suprême (En somme, la différence est une question d'horaire selon le train que l'on prend ou que l'on rate. Au fait, la transmigration du corps du machin dans l'hostie – ou le pain, ou le vin… - puis dans la bouche du croyant, c'est quoi : de la machinphagie ou une… sornette ?). 

Apparemment, cette doctrine ne semble pas s'éloigner beaucoup de la foi catholique puisqu'on y parle de l'âme immortelle, de l'expiation du péché, avant d'arriver à l'âme de toutes choses (l'atman suprême). Mais en fait, on est à l'opposé du christianisme ! Pour le chrétien, le but de sa vie, c'est de revêtir (Revêtir… le truc serait donc une quelconque défroque, une robe de chambre, un jeans… ?) la sainteté du christ par la réception fréquente des sacrements (Et avec les lavements, cela marche aussi ?) et ses efforts personnels. Pour les hindouistes, il s'agit de disparaître (Parce que le catho mort, lui, ne disparaît pas ? Pourtant, il faut bien qu'il crève pour s'unir à dieu (autrement dit, à la terre via les déjections asticotaires !) !) en dieu comme la petite goutte d'eau qui retombe dans la mer (Le catho mort serait alors une grosse mer qui s'insinue dans une toute petite goutte d'eau ?) à travers les différentes transmigrations (Etapes de pourrissement !) Du moi individuel, on doit passer au moi divin (Autrement dit de l'un au… néant !). En pratique, beaucoup ignorent cette doctrine de l'anéantissement de la personne dans le tout divin (Le tout à l'égout ?). Ils ne retiennent qu'une chose : il n'y a pas d'enfer et le purgatoire se résume dans quelques vies successives. Ainsi donc l'homme peut s'offrir une vie de péchés, sans remords de conscience, avec l'assurance de pouvoir toujours s'en sortir un peu plus tard. Quand à la vertu, on n'en voit pas très bien l'intérêt. C'est donc la ruine de la morale.

Mais comment peut-on e arriver à de telles bêtises en tant que chrétien (C'est pourtant simple : christianisme = bêtise ; chrétien = bête (au sens propre d'ailleurs puisque l'on parle du "troupeau du bon berger") !) ? Tout simplement par deux erreurs que l'on retrouve déjà dans le système d'Origène (Origène, c'est pas celui qui avait fait don de ses bijoux de famille à son dieu ? Il y a tellement eu de dingues dans cette secte que je me mélange les pinceaux !) :

Bien qu'Origène n'enseigne pas explicitement la métempsychose, elle découle facilement de ses erreurs (C'est fou cette manie qu'ont les croyants de faire dire aux autres ce qu'ils n'ont pas dit mais que, eux, veulent entendre !) ; en effet : si tous les hommes doivent jouir un jour du bonheur du ciel, tout en tenant compte du fait que cela ne peut se faire sans la justice, il faut donc que chacun ait ses chances pour toujours se racheter et, par suite, tôt ou tard, il saisisse ses chances (Et elle est où la démonstration de la doctrine de la métempsycose d'Origène ?). C'est ainsi que l'on élimine l'enfer et que l'on défigure le purgatoire. Mais le bon sens ne peut concevoir une telle doctrine ! (Avec le bon sens de la croyance on peut craindre le pire !) : Comment peut-on expier des fautes sans avoir la conscience de notre responsabilité ? Ce serait de l'injustice pure et simple. On ne corrige pas un enfant sans lui expliquer ses fautes (Et, comme on le sait, la pédagogie vaticanesque de la correction des enfants s'appelle la… pédophilie !) ! Or, où se trouve le lien entre l'âme de mon corps actuel et de mon corps précédent ? Il n'y a pas de réponse, sinon dans l'imagination (Alors pourquoi ne pas appliquer cette réfutation dans le sens contraire : où se trouve le lien entre l'âme de mon corps actuel et de mon corps (divin) ultérieur ? nulle part, sauf dans l'imagination malade du croyant !). De plus, si toutes les âmes sont appelées à se réincarner pour se purifier, on devrait normalement arriver à une société de plus e plus vertueuse. Or, nous savons qu'il n'en est rien. Nous vivons dans un monde de plus en plus dur et égoïste. Enfin, que faire de l'acquis d'une âme adulte (éducation morale, intellectuelle…) dans ce système puisque l'âme doit repartir à zéro dans le corps d'un enfant ? Comment dés lors affirmer que c'est la même âme.

Au lieu de continuer à analyser ces fantasmes, regardons plutôt la vérité en face au moyen de la sainte écriture et la doctrine de notre mère la sainte église (Il est vrai que rien n'a été démontré du non-fondement de la métempsycose et de la réincarnation ; alors, mieux vaut en revenir à la bonne vieille méthode scientifique catholique : la vraie vérité  que l'on ne peut/doit pas démontrer et qu'il est interdit de contester sous peine de… crémation de son vivant ! Alors, attention et si vous avez les yeux fragiles mettez des lunettes de soleil car la science catho va rayonner de toute son… imposture !) :

L'argument sans appel vient de saint Paul dans son épître aux Hébreux : "il est établi que les hommes meurent une seule fois et qu'ensuite vient le jugement" (Héb. IX.27) (C'est pas de la démonstration scientifique ça ? je vous avais prévenu. Je vais y aller de la mienne : "Il est établi que le facteur ne passe qu'une fois par jour pour le courrier postal et qu'ensuite vient la distribution du courrier commercial (publicité)" (Pos. XW-RG.45.III.b)). Si l'on ne meurt qu'une fois, il ne peut y avoir de réincarnation (Cette déduction procède de cette même logique que ce vieux mot de bistrot : "Si ma tante en avait, on l'appellerait mon oncle" !).

Lorsque l'évangile parle de mort, nous avons à la suite, le rappel de la sentence immédiate et définitive : "Or, il arriva que le pauvre Lazare mourut et fut emporté par les anges dans le sein d'Abraham. Le riche mourut aussi et il fut enseveli dans l'enfer" (saint Luc XVI.22) (Bon, je suis en verve, je vais y aller d'une autre démonstration catho : "Un quart d'heure après le constat officiel de son décès par le médecin légiste, Monsieur X était… mort" !).

Les défenseurs de la réincarnation opposent à ces textes si clairs le cas de saint Jean baptiste. Il serait la réincarnation d'Elie (Pas le comique, Kakou,… l'autre, le lugubre !) puisqu'il est dit dans l'évangile (L'évangile est, on le sait, entre autres choses, le registre des horaires de l'ascenseur divin !) : "Il est lui-même cet Elie qui doit venir" (st. Matt. XI.13-14). Mais Elie et Enoch ne sont pas morts (Ge. V.24 ; Reg. II.11). Par conséquent, s'ils ne sont pas morts, ils ne peuvent pas se réincarner (Et, d'abord,  s'ils ne sont pas morts ils sont toujours vivants : où peut-on les voir s'il vous plait ? J'ai cherché dans le Who'swho je ne les ai pas trouvés.) ! De plus, saint jean baptiste nie positivement (Heureusement qu'il ne nie pas… négativement !) et l'ange Gabriel précise que Jean baptiste aura "l'esprit et la puissance d'Elie" donc le même zèle (st Luc I.17). De tous ces textes, il ressort que saint Jean baptiste est présenté comme un "Elie mystique (N'y a t-il pas eu, ici encore, une faute de traduction ? Ne faut il pas lire "Elie, le mystificateur ou le mystifié" ?) ", le précurseur du christ, rempli du même zèle et de la même mission qu'Elie mais ce n'est pas la même personne. Et donc, l'argument est faux ! (Et vlan une nouvelle victoire à l'actif de la science catho !)

La doctrine de l'église : il est de foi (Autrement dit, dans le bocal halluciné du croyant.) :

Il faut [donc] en conclure que ces points de "doctrine" [la métempsycose et la réincarnation] sont en opposition avec la révélation et ce que l'église nous demande de croire pour être sauvés (Sauvés de quoi ? de qui ? d'où ? N'est-il pas courant de dire que, dans un asile d'aliénés, les aliénés sont persuadés que ce sont les autres qui sont fous, pas eux ?).

  1. Recettes miracles ou jeux diaboliques :

Depuis la perte du paradis terrestre, l'homme charnel recherche le bonheur sur la terre, le vrai chrétien le place au ciel (Et d'après vous, c'est qui le cinglé ?). Ce sont deux manières opposées de concevoir la vie (C'est le moins que l'on puisse dire ! La première consiste à vivre, la seconde à non vivre en attendant de mourir !). Pour les uns, il s'agit d'obtenir une vie naturelle agréable, de profiter autant que possible des plaisirs de la vie. Pour les autres, il s'agit de gagner la vie éternelle et pour cela d'être prêt aux renoncements nécessaires pour être fidèle à dieu (A mon avis, d'un point de vue marketing, cette secte devrait revoir son argumentaire car, à moins d'être maso, elle prêche pour la… concurrence : l'athéisme !). Les premiers seront confortés et encouragés par les démons – qui veulent notre damnation éternelle – et par le monde, dont Lucifer est le prince. Les seconds seront soutenus et guidés par notre seigneur – qui veut notre salut éternel (Et, comme "ticket d'entrée" notre… mort humaine !) - et par les exemples des saints. Les démons, pour nous tromper, trouve deux alliés en nous : la séduction du monde (Le monde, cette terre qui est si jolie et agréable à vivre mais qui, hélas, est polluée par les religions et leur haine de la vie et du monde !) et la curiosité (Qui est la voie royale de l'intelligence et de… l'athéisme !).

C'est alors que l'on s'adresse à des puissances occultes. Malheur à ceux qui jouent avec les démons, même par curiosité, car il leur sera difficile de sortir de ses (Sic ! Mais il est vrai que dans cette secte où l'un peut être triple, voire multiple, les accords de grammaire ne sont pas évidents !) pièges et de son emprise (Idem.)  ! Bien sûr, il existe des charlatans (Exemple : les curés !), des demi-sorciers, de fins psychologues qui exploitent la crédulité (Fonds de commerce des… religions : pas touche !) des gens mais il existe aussi de vrais sorciers qui ont fait des pactes, de vrais spirites qui vous donneront des réponses, des recettes reçues du diable ! Et ils sont beaucoup plus nombreux qu'on ne le croie (Cette manie de voir des démons et des ennemis partout explique sans doute le zèle avec lequel les croyants dénonçaient les juifs, les Francs maçons, les communistes, les homosexuels…à la Gestapo et à la milice.) …

Poséder chez soi des livres de magie (l'abbé Jolio, Benjamin Manassé, Lobsang Rampa, le petit et le grand Albert…), c'est se mettre dans l'occasion prochaine du péché et, de plus, c'est déjà une certaine présence de démon chez soi avec son influence maléfique car il n'y a pas de magie blanche, de magie pour le bien ; c'est un artifice du démon que de nous le faire croire. En jouant avec le démon ou en m'exposant à l'écouter, je recherche ma force, ma lumière auprès du pire ennemi de dieu (Mieux vaut donc l'ignorance de l'obscurantisme catho !). Je porte ainsi directement atteinte à l'honneur de dieu (Porte-t-il pour autant plainte pour injure ou diffamation ?). C'est donc une faute très grave.

Citons quelques unes des pratiques les plus courantes : la magie d'amour (Signes du zodiaque et foi chrétienne sont incompatibles, cf. Isaïe 47.12-14) ; les pentacles et talismans (Mieux valent le… chapelet, le crucifix, le bréviaire, les images pieuses, l'eau bénite, le rameau d'olivier…!!!) ; la magie d'attaque et de défense ; l'astrologie et le spiritisme : les tables tournantes, les verres qui parlent, les boules de cristal, les tarots… (le paganisme africain, le vaudou, les bouddhistes… vivent du culte des démons et des aïeux, cela fait donc plus d'un tiers de l'humanité) (En revanche, comme on le sait, les cathos vivent dans la science, la raison, l'intelligence… et ne sont pas crédules, superstitieux…) ; les trucs magiques et les pactes.

Ne cédons jamais à la panique, à la peur, à la curiosité ; et surtout ne pensons pas que des moyens véritables n'existent pas ! Vous avez des problèmes, des croix (!?! Pas évident comme signe ostentatoire si elle est de taille réelle !), des trous vides dans votre vie… N'employez jamais ces moyens dangereux, mauvais, Mais prenez les véritables solutions : Vivez en ordre avec dieu et avec votre âme (pratiques régulière des sacrements, chapelet quotidien (En suppositoire ou gargarisme ?), retraite spirituelle (La secte fait de bons prix hôteliers !), bonnes lectures (Par exemple : un livre dont toutes les pages sont… blanches !), méditation de la passion pour trouver la patience dans les épreuves et découvrir l'amour de dieu pour nous) ; accomplissez votre devoir d'état, familial et professionnel (avec régularité et persévérance. Pour réussir, il faut travailler? Cependant, chacun a des limites qu'il doit accepter et respecter) (Autrement dit : soyez soumis. Ne contestez pas l'ordre économique, politique, social… Et si vous souffrez de cet ordre, dites-vous que c'est votre croix à porter. Portez-la allègrement – au moins vous aurez les mains occupez – et vous monterez droit au ciel même si, auparavant, il vous faudra passer par quelques cases de purgatoires : misère, maladie, souffrance, prison, exploitation, répression, harcèlement, viol… Au passage, on notera que cette secte prône la soumission à l'ordre en place, en particulier économique alors qu'elle reproche au monde actuel, et donc économique, de prôner le satanisme, de vendre des diableries… !) ; ayez une vie saine et équilibrée (trouvez un rythme calme et régulier avec la joie de vivre dans vos occupations habituelles, accordez-vous des détentes saines (L'auto flagellation par exemple !), entourez-vous de bons amis (Cathos intégristes of course !).

Pour vous protéger contre les influences diaboliques, utilisez les moyens simples des sacrements (confession, communion) et des sacramentaux : bénédictions, médailles miraculeuses, sel bénit, croix, eau bénite, objets bénits… (Cathos intégristes !) ou encore toutes les prières de l'église comme les consécrations à la sainte vierge, le renouvellement des promesses du baptême… (Et si vous êtes paralytique, si vous avez le cancer, le sida, la goutte, une orchite… n'allez surtout pas chez le médecin ou à l'hôpital : rampez jusqu'à la grotte de Lourdes ou bien allez à genoux jusqu'aux pieds du grand gourou de cette secte (abbé ? évêque ? supérieur ?...) et, moyennant espèces trébuchantes (les anciennes monnaies nationales de la zone euro n'étant plus acceptées) , si vous n'êtes pas soulagé de votre croix, au moins, le retour sera plus facile votre porte-monnaie étant, lui, (bien) soulagé !).

  1. La télévision : amie ou ennemi du foyer chrétien ?

Est-ce une bonne ou une mauvaise évolution [le développement de la télévision et de l'ordinateur avec, pour celui-ci, l'accès à internet] ? Peut-on garder chez soi ces appareils sans trouble de conscience ? (Notons le garder chez soi : à la limite on pourrait les garder ailleurs ?). Une famille catholique (quid alors des célibataires ?) peut-elle accepter (parce qu'il est courant que téléviseurs et ordinateurs soient… donnés ?) ou conserver ces appareils sans manquer à sa mission d'éducatrice des enfants (et, d'abord, de reproduction du… troupeau) et d'exemple vis-à-vis du monde ?

"La sainteté de la famille ne peut être l'objet de compromis. L'église ne se lassera jamais – et c'est son devoir – d'employer toutes ses forces (y compris… manu militari !) afin que le sanctuaire (Ne trouvez-vous pas que le terme de sanctuaire fait… cimetière, musée, vieillerie quoi !) de la famille e soit pas profané par l'usage de la télévision" (Pie XII, 1957) (C'est curieux tout de même que cette secte ne cite jamais le Kapo actuel : Gépétou ! Et que dit-elle de l'usage intempestif de la télévision et d'internet par le vatican ? celui-ci serait-il devenu l'antre du démon ?).

Rappelons quelques évidences au point de vue de :

Nous ne pouvons y coopérer ! "Comment ne pas frémir (parce que… émoustillé ?) à la pensée que la télévision puisse pénétrer, au sein même du foyer, cette atmosphère empoisonnée de matérialisme (il est vrai que la télévision est bien matérielle quand les sornettes religieuses ne sont… qu'immatérielles et, plus précisément, mensongères !), de mensonge et d'hédonisme (soyons catho, soyons maso !) (Pie XII, 1er janvier 1954).

Faut-il envisager la détente avec un appareil qui doit vous faire horreur, parce qu'il a souillé et avili des millions d'âmes ? Certes, tout n'est pas mauvais dans ce qui est diffusé (ah, tout de même !), mais est-ce une raison suffisante ? Dans les fausses religions tout n'est pas mauvais non plus, de même chez Voltaire ou Rousseau (alors on ne fait plus dans le manichéisme mais le marketing ?).

A propos de l'information, vous trouverez l'essentiel et dans un meilleur esprit dans quelques bonnes revues, quelques bons journaux (et pour ne pas vous tromper, c'est simple : reportez-vous à l'Index pour voir ce que vous ne devez pas lire !). Il ne s'agit pas d'être surinformé, mais d'être bien informé de ce qui est important (et seule la voix de son maître peut vous dire ce qui est important, vrai…).

Si vous êtes citoyen de la terre, votre vraie patrie c'est le ciel ! (Alors là, franchement, je ne comprends pas du tout : où est le décodeur ?) Combien de temps prenez-vous chaque jour pour étudier votre catéchisme ? (Eh ben en voilà une lecture qu'elle est bonne !).

Quant à l'usage de la vidéo, c'est l'occasion de revenir à l'utilisation normale de la télévision et d'élargir la définition du "bon film" (pour les films, il existe aussi un Index ; alors, abonnés de la vidéothèque vaticanesque, sachez que le fond est… "pauvre", compte tenu des interdits prononcés pour sauver vos âmes. Ne soyez donc pas étonné si, en définitive, vous n'avez d'autre choix que de ressasser les mêmes films !).

Ne vous cachez pas la vérité : la télévision est le symbole de l'esprit du monde. Elle n'a pas sa place dans la famille chrétienne (dur de regarder de vraies vidéos sans téléviseur !)  ! SEPAREZ-VOUS EN MAINTENANT ! (Et ils en ont eu beaucoup de retour ? Qu'en ont-ils fait ? Un autodafé ? De la revente ? De la location ?...).

Faîtes-le aussi en esprit de réparation pour tout le mal qu'elle a fait et pour être un exemple de ce que fait un bon catholique (s'emmerder et emmerder le monde !) : "Pour conquérir le royaume des cieux, il faut se faire violence !" (saint Matthieu, 11.12) (Ne serait-ce pas plus simple de… prendre l'ascenseur ? Pourquoi cette manie tordue de souffrir, de se faire souffrir, de faire souffrir… ? N'est-ce pas là le signe d'une démence prononcée ?).

  1. Dévotion des premiers vendredis et samedis du mois :

Jamais nous ne pourrons sonder l'immensité, l'étendue de l'amour de dieu pour nous (Un jour, un mourant se plaignait de souffrir à la môme Térésa. Celle-ci lui dit : "Sois heureux de souffrir car si tu souffres c'est parce que dieu t'aime". Et le malade lui répondit : "S'il vous plaît, dîtes-lui qu'il m'aime moins !"). Cet amour est si grand, si profond, si tendre que rien ne peut le lasser : ni nos indifférences, ni nos oublis, ni nos compromis, ni nos révoltes… (C'est ce que le droit pénal appelle désormais : le harcèlement !).Mais, hélas, l'amour n'est pas aimé (Et il est bien vrai que, à y regarder de plus près, l'amour du croyant, c'est la haine de l'humain, de la vie…). Et pourtant, qu'est-ce que notre seigneur pouvait faire de plus pour nous prouver son amour : sur la croix, il nous donne sa mère, sa seule consolation humaine (Jn XIX.26) (Quel fils indigne tout de même : se débarrasser de sa mère, n'avoir même pas eu le courage de la déposer à la porte de l'hospice… ! Et puis moi, sa mère je n'en ai rien à faire d'abord, et vous ?) ; sur la croix, il se sent abandonné de son père pour nous (Matt. XXVII.46) (Mais quelle famille ! une vraie DDASS ! et avec cela, ils veulent donner des leçons d'éducation, de morale… aux autres !). Cela ne vous suffit pas ! Alors écoutez ces paroles d'un cœur (tiens les cœurs parlent maintenant ! c'est nouveau ; à moins que le mien ne soit une exception et soit muet !) qui a tant aimé les hommes, jusqu'à s'épuiser et se consumer (par auto… crémation ?) pour leur témoigner son amour (Une prostituée ? une dévoreuse d'hommes ? une nymphomane ? une hystérique ?...). Notre seigneur (saigneur ; je rectifie l'erreur de frappe) à sainte marguerite Marie, Paray-le-Monial, (1673) (dite "cuisses légères) :

"Pour tous ceux qui auront une vraie dévotion à mon sacré cœur (je pense qu'elle voulait dire : mon sacré… con !) : Je leur donnerai toutes les grâces nécessaires dans leur état (et, notamment, la petite mort de l'extase !) ; je mettrai la paix dans leur famille (elle faisait aussi patronne) ; je les consolerai dans toutes leurs peines (à l'instar de ces conseillères qui tiennent la rubrique "courrier du cœur" dans de nombreux torchons) ; je serai leur refuge assuré pendant la vie et surtout à la mort (c'est pourquoi on l'appelait aussi madame AXA) ; je répandrai d'abondantes bénédictions sur toutes leurs entreprises (selon un historien, mais il est vrai libertin et mécréant, c'était une sacrée… fouteuse au point qu'on la surnommait parfois la môme chantilly !) ; les pécheurs trouveront dans mon cœur la source et l'océan infini de la miséricorde (elle fut aussi mareyeuse et poissonnière) ; les âmes tièdes deviendront ferventes (normal puisqu'elle avait le feu au cul) ; les âmes ferventes s'élèveront à une grande perfection (une personnalité ambiguë : terminator et elevator ou escalator à la fois !) ; je bénirai les maisons où l'image de mon cœur sera exposée et honorée (ce qui suppose d'avoir l'électricité pour la vitrine réfrigérée !) ; je donnerai aux prêtres le talent de toucher les cœurs (et, surtout, le reste !) les plus endurcis ; les personnes qui propageront cette dévotion auront leur nom inscrit dans mon cœur et il n'en sera jamais effacé (en fait de prosélytisme, c'est plutôt de la transmission  du genre MST !) ; je promets, dans l'excessive (mais l'excès n'est-il pas outrancier ? n'est-ce pas un péché que d'être excessif ?) miséricorde de mon cœur, d'accorder à tous (quant aux femmes : circulez, il n'y a rien à voir !) ceux qui communieront neuf premiers vendredis du mois consécutifs, la grâce de la pénitence (quelle généreuse promesse !) finale, ne mourant point dans ma disgrâce et sans recevoir leurs sacrement, mon divin cœur (moi, comme abats, je préfère le foie et les rognons) se rendant leur asile assuré au dernier moment (quel charabia ! vous avez compris ? moi, non. Mais c'est normal : il n'y a rien à comprendre !).

Les richesses du cœur d'une mère sont inépuisables, surtout lorsqu'il s'agit de la vierge marie. Notre dame veut sauver ses enfants (ah bon, elle en a eu d'autre que le cloué ? Des noms ! Des noms !) et intercède pour eux. Mais pour les pécheurs qui ont commis des péchés (on tourne en rond avec ce nouveau pléonasme !) contre elle, notre seigneur demande plus, parce que c'est sa mère… (Surtout qu'il s'en est débarrassé sans même payé sa pension à l'hospice et qu'il lui a même laissé des dettes !). Il nous demande des actes de réparation (de quoi ? de l'hymen virginal ?) et des actes de dévotion (même contre nature ?) envers sa très sainte (et souvent enceinte d'après ce que je vois) mère.

En résumé, la dévotion réparatrice des cinq premiers samedis (Sic. Notons que, plus haut, on parle des neuf premiers vendredis : on change de jour et puis, pendant que l'on y est, on diminue la ration ! Tour de passe-passe de jésuite ?) nous obtient : l'assurance de la persévérance finale (en somme de l'entêtement, de l'esprit borné…) du salut éternel (vous savez le fameux disque "Ave Caesar", revisité "Ave maria" qui serait rayé !) ; le salut de beaucoup d'âmes (tout dépend de la taille des mailles du filet ; à moins que l'on pêche à la grenade, alors là, la pêche est… juteuse !), la conversion de la Russie (qu'est-ce que cela vient faire là ? On fait de la politique à présent et on veut terrasser le méchant dragon communiste ?) et la paix dans le monde (l'électroencéphalogramme plat d'un monde sans pensée, sans parole, sans liberté !) (Notre dame à Lucie de Fatima, 10/XII/1925 et 19/III/1939) (Autre illuminée du carafon !).

Voyons maintenant les conditions demandées par notre mère du ciel (il y aurait aussi celle du sous-sol, du rez-de-chaussée… ?) :

notre dame s'appuie (elle était boiteuse, il lui fallait une canne ?) sur la pratique de l'église et sur le fait que saint Pie X pape avait accordé le 13 juin 1912, pour le premier samedi de chaque mois, une indulgence (c'est un commerce fort lucratif !) plénière applicable aux âmes du purgatoires (je me disais aussi ; ce n'est pas accordé aux vivants mais aux morts. Comme cela, c'est tout bénéf ! pas de réclamation possible !), pour ceux qui, avec les conditions ordinaires, auraient de pieuses pratiques réparatrices envers la vierge immaculée (parce qu'il y en aurait une autre qui ne serait pas immaculée mais… maculée ?)

La confession en esprit de réparation est celle qui se fera avec la douleur (et encore du sado-masochisme !) d'avoir offensé un dieu si bon (à mon avis, il doit y avoir une autre définition du terme "bon" : serait bon celui qui fait du mal, qui punit, qui tue…) et avec la douleur (et les antalgiques ils ne connaissent pas ?) d'avoir fait de la peine au cœur douloureux (un cardiologue, vite ! il y a un infarctus en cours ou bien alors c'est un électricien qu'il faut, la vitrine réfrigérée étant tombée en panne, le cœur menaçant de pourrir !) et immaculé de marie…

C'est pourquoi il est vivement recommandé de réciter avant et après la communion (à titre d'anti-poison ? de laxatif ?) la prière de l'ange : "Très sainte trinité…" (page 21, livre bleu des exercices) (pas le rouge, celui-là c'est celui du maître avec les réponses). N.B. Si l'on est dans l'impossibilité d'assister à la messe le premier samedi, cette dévotion peut être reportée au dimanche suivant (autrement dit, au… lendemain !), à condition d'en demander la permission à un prêtre (nous sommes déjà passé du vendredi au samedi ; alors pourquoi pas du samedi au dimanche, puis du dimanche au lundi… ?)

Léon (pas le Léon du cinéma, l'autre) XIII, dans ses encycliques (livre de recettes de cuisine en latin de… cuisine) "Laetitiae (pas Casta) Sanctae (1893) et Octobri (pas rouge) mense (1891) affirme que "de la récitation du saint rosaire découleront les avantages les plus précieux (comme une forte musculature des doigts !) puisqu'ils permet, aux enfants de Marie (que d'aucuns appellent "enfants de salope") que nous sommes, de mieux nous conformer leur vie aux préceptes de la foi (persillé avec une pointe d'ail) et à la présence divine en nous (dite aussi : fécondation in vitro !). Notre dame de Fatima veut être invoquée sous le vocable de "notre dame de rosaire" (mais c'est qu'elle parle toujours la bougresse ! mais où ? à la T.V…. satanique ?).



[1] B.P. 4 03110 Broût-Vernet. Documents publiés grâce à l'aimable reprise de Nicole, mécréante et doctoresse es-blasphème. Les caractères en gras sont d'origine. Mes commentaires sont en bleu.

[2] Une simple "fête" de plus prétexte à dépenses (Dans le texte).

[3] Sic

[4] Sic !


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