Amour chrétien ou… crétin ?

 

Depuis quelques jours, une bande de croâ-hi-han(te)s, de la secte vaticanesque, m'envoient de messages de prière (pour sauver mon âme !) mais, aussi, et surtout, de menaces, d'insultes, d'accusations… témoignant ainsi de le conception qu'ils-elles se font et pratique de l'amour du prochain, un amour… brûlant au point qu'ils-elles n'hésitent pas, comme depuis l'aube de cette secte, d'avoir recours au feu et à l'ardeur de leur criminel projet : l'anéantissement de l'humain au profit du troupeau et à la gloire de leur maître incarné, comme un véritable ongle, par leur berger lequel, depuis peu, on le sait, est… allemand.

Depuis ses début, cette engeance se targue de vouloir "sauver" les "âmes" de celles et ceux qui ne sont pas de leur troupeau en leur faisant payer à cette fin le prix fort : celui de leur corps, autrement dit de leur vie.

Dégoulinant de haine, puant de méchanceté, suintant d'ignominie… ils-elles se complaisent à se vautrer dans leurs immondes bondieuseries et voudraient que je les rejoigne !

Croâ-hi-han(te)s, ils-elles ont l'habitude de tout gober : l'existence d'un mec dont l'Histoire n'a toujours pas attesté… l'existence et dont ils-elles prétendent continuer de bouffer le corps et boire le sang, de reliques de saint(e)s à plusieurs têtes, plus de deux jambes, bras…, de vrais morceaux de bouts de bois … putréfiables, d'un morceau de tissus qui aurait eu la faculté de remonter le temps pour revêtir la dépouille d'un cadavre… irréel… Bref d'une infinités de… conneries qui, plus elles sont grosses, énormes, invraisemblables, matériellement impossibles… et plus elles sont érigées en dogmes qu'il ne convient pas de contester sous peine de… blasphèmes et de châtiments… ultimes !

Comment une telle engeance peut-elle espérer convaincre de se rallier à elle celui-celle qui, dans son essence même, c'est-à-dire, dans sa liberté absolue, a fait le choix, en raison comme en sentiment, de naître à son humanité ? Quel argument "publicitaire" peuvent-ils-elles avancer qui ne soit aussitôt la démonstration d'un renoncement à… l'humanité ?

Un proverbe dit : "les chiens aboient, les caravanes passent". Ils-elles peuvent m'envoyer autant de message qu'ils-elles le veulent : ils iront tous à la place qui est la leur et qui est aussi celle de leur bondieuserie : les chiottes. Les chiottes dont la chasse sera tirée avec autant de fois que nécessaire sans que cela me crée quelque gêne, quelque fatigue que ce soient tant je préfère la propreté à leur saleté !

Pensent-ils-elles vraiment que je vais renoncer à mon humanité et me fondre dans leur troupeau ? Plutôt mourir debout mais rester humain que de "vivre" couché comme un étron, sentinelle de l'absurdité, de l'ignoble, de l'infâme, de la… bêtise !

A cette engeance, une seule réponse :

 


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